PARIS, 15 avril (Reuters) – Le président français Emmanuel Macron et sa rivale d’extrême droite Marine Le Pen ont qualifié vendredi de “choquant” la rémunération du directeur général du constructeur automobile franco-italien Stellantis, car la rémunération excessive des dirigeants est désormais un sujet brûlant l’économie française tendue. tenir des élections présidentielles.

Apenas nueve días antes de una segunda vuelta que determinará quién liderará la segunda economía más grande de la Unión Europea durante los próximos cinco años, las encuestas de opinión muestran que Macron está solo ligeramente por delante de Le Pen en una contienda que podría ir en cualquier adresse.

Le package de rémunération 2021 du PDG de Stellantis (STLA.MI), Carlos Tavares, s’élève à environ 19 millions d’euros (20,5 millions de dollars), plus un package d’actions d’une valeur supplémentaire de 32 millions d’euros et une rémunération à long terme d’environ 25 millions d’euros.

Inscrivez-vous maintenant pour un accès GRATUIT et illimité à Reuters.com

“On parle ici de sommes astronomiques… il faut les limiter, ça peut marcher si on agit au niveau européen”, a déclaré Emmanuel Macron à la radio Franceinfo.

“Les gens ne peuvent pas avoir des problèmes de pouvoir d’achat, des difficultés et de l’anxiété dans leur vie et voir des sommes comme ça”, a déclaré Macron, ajoutant que sinon “la société va exploser”.

Le Pen a fait écho à ses commentaires.

“Por supuesto que es impactante. Es aún más impactante cuando es un director general el que ha puesto a la empresa en dificultades y obtiene sumas considerables”, dijo a la televisión BFM, sugiriendo que una forma de compensar esa remuneración era desarrollar participaciones accionarias en le personnel.

La société a déclaré dans un communiqué qu’elle ne commentait pas les positions des politiciens et a déclaré que le groupe était passé d’une quasi-faillite à une position de leadership sous la direction de Tavares.

Il a ajouté qu’il avait versé 1,9 milliard d’euros au personnel et aux actionnaires, et a déclaré que le salaire de Tavares était variable à 90% en fonction des performances de l’entreprise et inférieur à celui de ses rivaux GM et Ford.

Un peu plus de 52% des actionnaires de la société ont voté contre l’enveloppe de rémunération lors d’un vote consultatif mercredi. Lire la suite

(1 $ = 0,9257 euros)

Inscrivez-vous maintenant pour un accès GRATUIT et illimité à Reuters.com

Reportage de Benoit Van Overstraeten et Leigh Thomas, édité par Kirsten Donovan

Nos normes : Les principes de confiance de Thomson Reuters.