Années successives de chiffres record traversant la Manche ont poussé notre système d’immigration au bord du gouffre et au-delà. La semaine dernière, le centre de traitement de Manston, mis en place temporairement pour soutenir ceux que nous avions sauvés en mer, a grossi en nombre, et le temps calme des jours et des semaines à venir risque de provoquer encore plus de traversées.
Presque toutes ces personnes ont été sauvées par les autorités britanniques telles que la Border Force et la Royal Navy ou des groupes tels que la RNLI, et toutes ont été habillées, nourries et soignées médicalement.
Le personnel continue de travailler d’arrache-pied pour faire avancer les gens dans le système le plus rapidement possible et pour s’assurer que les préparatifs appropriés sont en place pour gérer les périodes où nous anticipons des pressions supplémentaires.
Accepter ces numéros d’enregistrement c’est extrêmement difficile, et la pénurie chronique de logements acceptables a obligé le gouvernement à acheter des hôtels chers et souvent inadéquats à un coût inacceptable pour le contribuable.
La décence humaine doit s’accompagner d’un bon sens obstiné : les immigrés illégaux ils n’ont pas droit aux hôtels de luxe. Les conditions au Royaume-Uni sont presque toujours meilleures que dans les pays voisins, ce qui explique pourquoi le Royaume-Uni est une destination de choix pour les migrants économiques vers le continent « acheteur d’asile ».
“Hotel Great Britain” doit cesseret être remplacés par des logements simples et fonctionnels qui ne créent pas de facteur d’attraction supplémentaire.
En fin de compte, le centre du débat doit passer de la gestion des symptômes des problèmes (acquisition d’hôtels) à la guérison : arrêter les immigrants économiques faire le voyage périlleux à chaque moment possible. Une forte dissuasion contre ceux qui tentent de tromper le processus et la compassion pour ceux qui ont le plus besoin de notre aide devraient être les critères d’évaluation de notre système d’immigration.
Cela commence par continuer investir dans notre relation avec la France – et le Premier ministre en a fait une priorité essentielle lors de ses premiers entretiens avec Emmanuel Macron, le président français.
Notre collaboration avec la France elle se traduit aujourd’hui par l’interception de près de la moitié des navires, mais nous devons maintenant puiser dans notre expérience collective et accroître notre ambition.
Avec une plus grande coordination entre nos agences de sécurité et d’application de la loi respectives, nous pouvons démanteler les gangs criminels maléfiques qui planifient ces passages et apporter plus d’ordre à la fois sur nos côtes et dans le nord de la France.
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