, publié le vendredi 18 septembre 2020 à 22 h 30

Pour récompenser les salariés de leur activité pendant la crise sanitaire, Michel-Edouard Leclerc a annoncé que 25% des bénéfices leur seraient reversés.

«Tous les centres Leclerc qui génèrent des bénéfices paieront 25% des bénéfices avant impôts sous forme de bonus, pourboire et incitatif. Au micro de France Info, le patron du cartel, Michel-Edouard Leclerc, a annoncé qu’il voulait faire un geste pour ses salariés.

Les centres Leclerc générateurs de bénéfices distribueront 25% des avantages avant impôt à leurs salariés, restés majoritairement «fidèles» au plus fort de la crise sanitaire du Covid-19, a annoncé ce vendredi Michel-Edouard Leclerc, chef du cartel. .
«Nous préférons, même si c’est plus imposable pour l’entreprise, impliquer tout le personnel», a-t-il déclaré.

«La plupart des centres Leclerc ont payé le bonus Macron mais nous faisons mieux. Les 1 000 euros sont éphémères.

Au début, il y avait beaucoup d’absences en Alsace, où il y avait un cluster très fort, mais de toute façon, tous nos collaborateurs étaient fidèles », a-t-il ajouté, lorsque le gouvernement les avait encouragés fin mars. que les employeurs paient une prime non imposable pour récompenser la mobilisation.

350000 consommateurs de plus

Le patron de l’enseigne s’est également félicité de la bonne tenue de ses supermarchés qui ont gagné 350 000 consommateurs depuis la sortie du lock-out.

“Ils ont remarqué les différences de prix, a-t-il poursuivi. Le deuxième effet est l’élan. Pour des raisons pratiques et de santé, cela a été très réussi. Les nôtres sont à + 50%.” 17% des 1,1 million de consommateurs supplémentaires sont retournés dans leurs magasins traditionnels, le reste étant réparti entre nos hypermarchés, nos unités et nos formules de livraison à domicile ».

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«Grâce à la conduite, nous avons appris le numérique. Nous l’avons anticipé il y a 7 à 8 ans. Comme nous sommes leaders dans la dynamique, nous avons pu financer la 3ème étape, le webcommerce », a-t-il ajouté. pour expliquer les difficultés de certains concurrents.
Son groupe “va bien”, Michel-Edouard Leclerc assure qu’il n’y aura pas de “plans sociaux”.

“Je ne dis pas qu’il n’y aura pas de pauses, des ajustements. Mais nous embauchons. Depuis 10 ans, nous avons embauché 3 000 personnes par an. Cette année, nous allons ralentir car il y a un effet Covid. Sur les 1 200 points de vente, une douzaine de centres rament un peu », a-t-il poursuivi.