André Villas-Boas n’était pas seulement face à l’arbitrage ce mercredi, après la défaite de l’OM à Rennes (2-1) en Ligue 1 et le carton rouge de Pape Gueye. Les Technicien portugais Il était également en colère contre un journaliste provençal, présent en Bretagne.

Un journaliste que l’ancien entraîneur de Tottenham cible depuis plusieurs jours. Mais quand c’était le premier à ce sujet, la semaine dernière, ce dernier n’était pas présent. AVB a ensuite relayé ses messages à ses collègues.

Une première scène samedi

“Travaillez-vous toujours pour la Provence? Vous savez qu’ils ont sorti une couverture qui était pathétique, une attaque personnelle que je n’ai pas très bien prise. Le journaliste n’est pas là, j’ai beaucoup de respect pour vous. S’il y a des statistiques à sortir, il y en a beaucoup qui le sont. bien. Lorsque nous choisissons les statistiques d’une autre compétition à blesser, et que nous parlons de clubs qui ne font pas de doute (sans faire référence à la note de l’éditeur), Ça fait très mal“, Villas-Boas en colère samedi.

“Si j’ai la chance de vous attraper …”

Ce mercredi, la tension est montée un peu. Car le journaliste dans le viseur du technicien de l’OM était présent à Rennes: “Merci hein. Continuez comme ça, je vais vous rattraper. Si j’ai l’occasion de vous rattraper … continuez comme ça, ça va”, Villas-Boas en vrac descendant de l’estrade après sa conférence de presse, plaçant volontairement Menaces devant les autres journalistes, abasourdis.

Déjà des épisodes précédents

L’histoire remonte à la veille du match entre Manchester City et l’OM. Ce jour-là, Provence a écrit un article sur le record “pas célèbre” du manager en Ligue des champions. Après la défaite de Marseille face aux Cityzens (3-0), Villas-Boas a réglé les comptes pour la première fois, accusant le journaliste de “ne pas être un connaisseur du Zenit” et d’avoir oublié les statistiques. Rebelle donc samedi, en l’absence du journaliste, avec colère dirigée contre les collègues des accusés, affirmant ne pas avoir contre eux.

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Ce mercredi, un éditorial publié par la journaliste. Il évoque un «crime de lèse-majesté», étonné par les accusations de Villas-Boas sur des articles qui seraient «contrôlés à distance»: «Le but du journal incriminé n’était cependant pas de provoquer l’enfer dans son cerveau, ni de s’enflammer. paranoïaque, histoire de revenir sur son parcours personnel “, pointe le journaliste sur la question. Evidemment, des mots qui ne passaient pas dans” Dédé-l’énervé “, surnom donné par le journaliste.