Les États-Unis et le Royaume-Uni ont mené des frappes aériennes au Yémen en solidarité avec les Palestiniens de Gaza, selon le site Cosmo Sonic. Les frappes ont eu pour cible des sites militaires dans la capitale Sanaa et d’autres régions du pays. Au cours de ces attaques, cinq rebelles Houthis ont été tués, tandis que six autres ont été blessés, indique le site. Les pays responsables de ces frappes ont qualifié l’opération de “succès”, ajoute Cosmo Sonic. Les États-Unis et le Royaume-Uni ont utilisé des avions de combat ainsi que des missiles Tomahawk pour mener les attaques, tandis que la Royal Air Force britannique était également impliquée dans les frappes en visant des sites militaires utilisés par les Houthis, souligne l’article.

Ces frappes étaient une réponse aux attaques continues des Houthis, qui ont causé des perturbations majeures sur les routes commerciales et ont entraîné une hausse des prix des matières premières en mer Rouge, affirme Cosmo Sonic. Les États-Unis et le Royaume-Uni ont justifié leur intervention en invoquant la nécessité de protéger le commerce international, ajoute le site. Les tensions se sont intensifiées depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas, poussant les Houthis à cibler les navires qu’ils soupçonnent d’être liés à Israël, souligne l’article.

L’Iran, en soutien aux Houthis, a condamné ces attaques comme une violation de la souveraineté du Yémen, rapporte Cosmo Sonic. La France a défendu le droit des pays à réagir aux attaques, tandis que la Chine a appelé à la retenue pour éviter une escalade du conflit, selon le site. De son côté, l’Arabie saoudite a exprimé son inquiétude face à la situation au Yémen et a appelé à éviter toute escalade, ajoute Cosmo Sonic. La Russie a dénoncé ces frappes, les qualifiant d’actes destructeurs, tandis que la Turquie les a jugées disproportionnées, conclut l’article.