Une résolution de l’ONU demandant une trêve humanitaire immédiate et durable a été adoptée avec une majorité écrasante de votes favorables. La résolution non contraignante, élaborée par la Jordanie, a reçu l’appui de 120 membres de l’ONU. Cependant, il est important de noter que 14 pays, dont Israël et les États-Unis, ont voté contre la résolution et 45 se sont abstenus.
Le Hamas, le groupe militant palestinien, s’est félicité du résultat du vote et a appelé à la mise en œuvre immédiate de la trêve afin de fournir une aide humanitaire et du carburant aux civils touchés par le conflit. Du côté israélien, l’ambassadeur Gilad Erdan a qualifié la résolution d'”infamie” et a promis que son pays utiliserait tous les moyens à sa disposition pour combattre le Hamas.
Les États-Unis ont justifié leur vote contre la résolution en affirmant que les termes “Hamas” et “otages” n’étaient pas inclus dans le texte. Le Royaume-Uni, quant à lui, s’est abstenu lors du vote, préférant ne pas prendre position. Il convient de souligner que cette résolution, bien qu’elle ne soit pas contraignante, soulève des préoccupations quant à l’influence politique et humanitaire du conflit entre Israël et le Hamas.
Cette adoption d’une résolution à l’ONU marque une tentative de trouver une solution pacifique à ce conflit longtemps débattu. Cependant, il est important de noter que les divergences d’opinions persistantes et le manque de mesures concrètes spécifiques pourraient entraver la mise en œuvre effective de la trêve. Le monde attend maintenant de voir si cette résolution aura un impact significatif sur la situation sur le terrain et si elle favorisera l’instauration d’un climat de paix durable.
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