Les élections au Burkina Faso ne sont pas une priorité, affirme le capitaine Ibrahim Traoré. Alors que le pays fait face à une violence djihadiste croissante, la sécurité est désormais considérée comme la priorité principale. Cependant, une modification partielle de la Constitution est prévue, car les textes actuels sont considérés comme un frein au développement serein du pays.

Selon le capitaine Traoré, une poignée de personnes éclairées influencent la Constitution, au détriment de la masse populaire. Il soutient fermement qu’il est important de donner aux citoyens burkinabè la possibilité de choisir leur président à travers des élections, malgré le fait que cela ne soit pas une priorité immédiate. Pour cela, la sécurité est essentielle, car elle permettra aux Burkinabè de circuler librement et de participer au processus démocratique.

Face à cette situation, de nombreux manifestants se sont réunis pour exprimer leur soutien au régime militaire en place et ont appelé à l’adoption d’une nouvelle Constitution. Ils demandent une plus grande participation populaire dans le processus de rédaction de la Constitution afin de garantir des droits équitables pour tous les citoyens.

Il est important de noter que le capitaine Traoré reste déterminé à organiser un scrutin, malgré la non-priorité accordée aux élections dans le contexte actuel. Il est conscient de l’importance de la démocratie dans la stabilité et la croissance du Burkina Faso.

En conclusion, la situation politique au Burkina Faso montre que la sécurité est la priorité principale dans un pays confronté à la violence djihadiste. Cependant, malgré la non-priorité des élections, le capitaine Traoré reste déterminé à organiser un scrutin, car il reconnaît l’importance de la démocratie pour permettre aux Burkinabè de choisir librement leur président. Une modification partielle de la Constitution est également envisagée afin de permettre une évolution sereine du pays et de garantir des droits équitables pour tous les citoyens.