Free révèle qu'il envisage un réseau mobile commun avec Orange dans les zones rurales

A l’heure où Free et Orange ont les yeux doux de loin, Xavier Niel confirme qu’il envisage un accord de bundling avec l’opérateur historique. L’idée d’un réseau commun dans les zones à faible densité de population émerge.

Après le roaming, Free et Orange envisagent ouvertement, mais pas trop, un accord de mutualisation, comme un moyen de rééquilibrer le paysage français. Car il faut le dire, l’heure est venue de l’asymétrie entre Bouygues et SFR, d’une part, qui ont une partie de leur réseau en commun, et d’autre part, Free mais aussi Orange, qui se déploient seuls.

Aujourd’hui, il apparaît qu’un accord multiforme est en cours de réalisation même si les pourparlers n’ont pas encore commencé selon la direction des deux opérateurs.

Récemment mentionné, le partage de l’infrastructure en 5G a du sens. Le motif Orange en début de mois était favorable à cette éventualité à la condition de maintenir “Un net avantage” pour vos abonnés en termes de qualité de réseau. “La position des fréquences que nous avons acquises nous permettra de rejoindre Free si nous le souhaitons”, a-t-il ajouté. Les deux opérateurs pourraient ainsi partager une partie de leurs investissements mais aussi bénéficier d’une meilleure couverture, notamment dans les zones peu peuplées.

Aussi, le spectre de la mutualisation passive cette fois sur 4G revient inévitablement. Un protocole d’accord a été signé plus tôt cette année entre les deux rivaux, a-t-il révélé. La galerie février dernier. Plus précisément, Orange et Free ont envisagé de partager les tours, ainsi que leurs coûts d’exploitation, en y installant leurs propres antennes avec l’objectif principal de ce partenariat inachevé, la zone de déploiement prioritaire (ZDP), c’est-à-dire où la couverture mobile est considérée. pauvres ou inexistants.

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Xavier Niel s’ouvre à un réseau commun avec Orange, le regroupement d’agences “est important”

Si aujourd’hui les deux opérateurs sont des autruches à ce stade, Xavier Niel n’a pas mis sa langue dans sa poche hier lors d’une audition devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale. Tout de suite, le fondateur de Free a révélé l’importance de s’unir entre Free et Orange, “C’est important pour faire face au cycle d’investissement, pour limiter l’impact environnemental du déploiement et pour accélérer la couverture rurale avec la disparition des zones grises”, où il n’y a qu’un ou deux opérateurs présents.

Le fondateur de Free ne s’arrête pas là et lâche une petite bombe, «Il s’agit de mutualiser nos réseaux dans des zones peu peuplées et d’avoir un seul réseau, c’est ce que font aujourd’hui Bouygues Telecom et SFR.. Will est clairement affiché, gratuit “Il prévoit de faire de même avec Orange.”

Pour rappel, dans l’accord de Crozon entre SFR et Bouygues, l’opérateur chef de file opère sur son territoire, sur un site donné, des installations de réseau actif utilisant à la fois ses propres fréquences et les fréquences de l’opérateur hôte. .

L’un des objectifs affichés de cette mutualisation est d’augmenter la couverture, la densité et la qualité des réseaux au profit des clients des deux opérateurs.

Regroupement de défenseurs libres dans la zone grise

Dans le cadre du New Deal, les opérateurs partagent passivement de nombreux sites (sites multi-opérateurs), mais Free veut aller plus loin dans les zones grises, précise Xavier Niel.

Partant du principe qu’ils sont encore trop nombreux en France, le fondateur de l’opérateur considère désormais la nécessité de dynamiser la mutualisation dans ces zones pour améliorer la perception des consommateurs sur la qualité du réseau.

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Le père de Free mentionne brièvement l’exemple. “Une solution proche du roaming, lorsque vous venez de l’étranger et que vous arrivez dans une zone, vous pouvez accéder aux quatre opérateurs“. Pour lui là-bas “Il n’y a pas de problème de concurrence dans ces domaines, il y a un vrai problème de qualité de service quel que soit l’opérateur”. Les Français bénéficieraient alors à leurs yeux d’une meilleure qualité de service et «ce ne serait pas une situation dans laquelle nous profitons des autres ». La proposition de Free est d’allumer les fréquences des opérateurs dans les lieux qui existent pour résoudre rapidement, soit «en 6 mois», le problème de couverture dans ces zones, au lieu de construire des centaines de tours les unes à côté des autres. autres.