Dans une interview croisée avec sa fille Charlotte Casiraghi, Caroline de Monaco a rappelé une phrase que sa mère Grace Kelly lui avait dite lorsqu’elle était adolescente. Une phrase qui l’a poussée davantage à être ce qu’elle est maintenant.
Plutôt que de la décourager, c’était une phrase qui la motivait. Quand elle était une jeune princesse, la Caroline de Monaco a reçu une éducation qui, “c’était en quelque sorte un vestige du 19ème siècle”. Entourée d’une nourrice anglaise et d’une gouvernante française, la sœur d’Albert II a été envoyée dans un pensionnat où elle a fréquenté l’école. Très bonne élève, la princesse nous assure qu’elle “J’ai adoré l’école”, ce qui l’a notamment poussée à étudier pendant longtemps. Et ceci un peu contre l’avis de sa mère Grace de Monaco, née Kelly, qui ne l’a pas jugé nécessaire.
“Je me souviens que ma mère me disait de bonne foi:” Tu n’as pas besoin d’aller à l’école “”, Alors souviens-toi Caroline de Monaco dans une interview croisée avec sa fille Charlotte Casiraghi à Madame Figaro. Une petite phrase assez difficile à entendre pour la fille aînée du prince Rainier III, qui à l’époque ne voulait pas se cantonner au simple statut de princesse royale avec laquelle elle est née. Après avoir obtenu son baccalauréat en 1974, Caroline de Monaco il entreprend ainsi une licence de philosophie à la Sorbonne, avant de rejoindre l’Institut d’études politiques de Paris.
Ce commentaire “inouï de cruauté” de l’un de ses professeurs
Une riche carrière universitaire pour Caroline de Monaco qui décida ainsi de voir au-delà de la principauté, et ce même si cela lui valut des remarques désobligeantes, notamment de la part de certains de ses professeurs. “Je me souviens d’un professeur d’université qui m’a dit avec une cruauté incroyable:” Tu prends la place d’un étudiant méritant “”, souviens-toi de la mère de Charlotte Casiraghi, qui se consacre également à l’éducation de ses enfants. Mais loin d’être bouleversé par ces observations, Caroline de Monaco a toujours “Je voulais surmonter les obstacles” et j’ai toujours ressenti “en compétition avec les garçons” admettre avoir toujours voulu “fais-le mieux qu’eux”.
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