Le porte-parole de Tsahal a présenté des preuves irréfutables qui disculpent l’armée israélienne concernant l’attaque présumée sur l’hôpital al-Ahli de Gaza. Lors d’une conférence de presse, il a souligné qu’il n’y avait aucun cratère sur le site de l’hôpital, ce qui indique clairement qu’il n’a pas été touché par une munition aérienne.

Pour étayer ses affirmations, le porte-parole a montré des images montrant les seuls dommages visibles situés à l’extérieur de l’hôpital, spécifiquement sur le parking, où des traces de brûlures ont été observées. Selon les analyses approfondies effectuées par Tsahal, la courte trajectoire des roquettes suggère fortement qu’elles ont été tirées à proximité immédiate de l’hôpital.

Le porte-parole a ensuite déclaré qu’à 18 h 59, une dizaine de roquettes avaient été tirées par le groupe militant Djihad islamique depuis un cimetière voisin, correspondant précisément à l’heure de l’explosion signalée à l’hôpital de Gaza. Ces tirs de roquettes provenant d’une zone résidentielle mettent en évidence l’utilisation de boucliers humains, une tactique souvent employée par les groupes terroristes pour dissimuler leurs attaques derrière des civils innocents.

Cette présentation des preuves par Tsahal montre clairement que l’armée israélienne n’a pas délibérément ciblé l’hôpital al-Ahli de Gaza, contredisant ainsi les affirmations infondées de certaines sources médiatiques. Cette nouvelle information devrait contribuer à rectifier les fausses accusations portées contre Israël et permettre une meilleure compréhension du contexte complexe dans lequel se déroulent les opérations militaires actuelles.

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